Beschreibung
An seinen Freund Louis de La Saussaye: „Mon cher ami, vos huîtres se sont croisées avec une lettre de reproches que je vous adressais fort injustement. Elles étaient excellentes, je les ai portées avec moi dans une maison où je dinais après en avoir déjeuné glorieusement [… über ein samstägliches Diner bei Brébant …] où l’on mange des cailles sous la cendre qui méritent votre présence. J’espère que vous nous en honorerez. Édouard [Delessert] a un oeil poché mais cela ne l’empêchera pas d’être des nôtres. J’ai reçu des nouvelles du pauvre Calderon qui n’a pas perdu sa gaîté et qui écrit des blagues dans les journaux sur les grands hommes du jour […] Je ne sais rien de vos belles de Madrid et je les crois toujours en Andalousie où nous irons les rejoindre si vous voulez l’été prochain […]“ – Correspondance VII, Nr. 2207.









